6.10.2009

URBAIN AMBIENT AWARENESS



La semaine derniere à Hyperurbain, IMAGINARIO a presenté sa recherche sur la ville et l' Hyper-Local Internet dans le cadre de l'evenement #futurenseine.
Nous avons beaucoup parlé de la notion de "information du quotidien", défini comme
un "ensemble fragmenté de connaissances infimes constituées par les micro-communications de voisinage, le mot «quotidien» étant employé au sens d’habituel, simple, ordinaire. [...] Ces échanges restent souvent à un niveau plutôt basique, mais nous croyons que ces informations petites, simple et fragmentées sont une clé importante du processus de construction de l’identité d’un quartier (ou d’une ville) et donc de l’appartenance – on ne peut pas se sentir appartenir à quelque chose qui n’a pas d’identité."

L'image ci-dessus, "piquée" du blog MEIPI, montre comment ce système de micro-communications pourrait fonctionner aujourd'hui avec un modèle de URBAN TWITTER. C'est pourquoi nous aimons beaucoup STWEET.

En suite, j'ai été très inspiré par l'article de Steven Johnson sur TIMES (en papier!!!) intitulé "How Twitter Will Change the Way We live", une analyse superbe...ce qui m'a specialement interessé est ce passage:

"[...] Twitter turns out to have unsuspected depth. In part this is because hearing about what your friends had for breakfast is actually more interesting than it sounds. The technology writer Clive Thompson calls this "ambient awareness": by following these quick, abbreviated status reports from members of your extended social network, you get a strangely satisfying glimpse of their daily routines."


C'est beau d'entendre ces mots: routines, ambient awareness...C'est ce dont nous avions parlé avec l'art du quotidien ALGOMAS. On va bientot decouvrir pourquoi et comment, mais il est claire que Internet est la revolution du quotidien. Et pour faire un parallele à la ville, l'information du quotien n'est rien d'autre qu'une sorte de URBAIN AMBIENT AWARENESS ( #UAA ), dont les implications et les impacts sur nos villes seront à etudier profondement.

bla bla bla


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